mercredi 18 août 2010

Nouvelle théorie!

Je suis comme un beigne avec des bonbons dessus, C'est bon, mais une fois c'est en masse!

Pour la comparaison avec le beigne je dirai que ca tient assez bien la route pour moi. Un beigne, c'est gras, on veut faire attention a sa ligne, donc on évite. Le glaçage c'est sucré, ca fini toujours par tomber sur le coeur. Puis les bonbons, C'est cute, c'est enfantin, pis on fini toujours par regretter quand on en croque un qui manque de nous fendre une dent.

Souvent le commentaire qui me revient c'est que je suis ''trop''. Trop quoi, je ne suis pas certaine. Je suis trop tout, comme le beigne avec les bonbons dessus!

En tant que beigne, J'péfèrerais plutôt être un gâteau au fondant au chocolat, qu'on échange ente amoureux avec une seule cuillière. Ou un lait frappé avec deux pailles dedans, siroté entre deux rires d'adolescentes. Ou un biscuit Oreo méticuleusement divisé en deux par un enfant, qui me plongerai ensuite dans une piscine de lait après, bien sur, avoir tout mangé le crémage. J'ai tout aussi envie d'être une tarte aux pommes maison dévorée par mon'oncle Robert qui est pas capable d'Attendre apres le souper pour pouvoir en prendre une pointe. Ou une petite bouchée de sucre à la crème mangée du bout des doigts par un diabétique qui triche un peu.

Vous voyes, même les beignes ne se sentent pas toujours bien dans leur pâte!

Et vous, qu'elle pâtisseries seriez-vous?

lundi 16 août 2010

C'est le début d'un temps nouveau!


Samedi j'ai manqué les étoiles filantes, le ciel était couvert. Pourtant, elles étaient là, dans nos yeux...

Tous au bord du feu, dans nos costume d'époques, le trac était ressenti de tous et l'échine nous chatouillais. Les gens assis dans leur chaises de fibres synthétiques, aux lanières qui s'enfoncent dans les cuisses, en avaient rien a faire d'être inconfortables. Il attendaient.....pas les guimauves à faire griller pour leur enfants, pas le chasse-moustiques que mémé à oublié à la maison, pas le lolo de Sophie dans son verre Dora qui ne coule pas. Ils nous attendaient, nous. Ils on laissés leur téléromans poches jouer sans eux devant la télé, ils on laissés leur lavage et le chien mordiller son os. Ils on mis leur vie de côté pour venir vivre avec nous pendant 1h00. Une heure de vie commune avec 50 personnes, je ne sais pas si vous le savez, mais c'est électrisant.

Une fois le feu éteint et tout le monde repartie à leur vie de gens qui ne sont pas nous, on vibrait encore sous l'adrénaline. C'est à ce moment d'euphorie totale qu'on la ressentie, la fin de l'été, la fin de notre vie en 1785.

Il nous reste 1 mois et demi pour s'éteindre et ensuite retourner à notre vie pas de Marie-Louise, de meunier, de crapaudine, sans enfants et parents émerveillés de faire un retour en arrière. En octobre nous ne seont plus maîtres de l'histoire, du temps. Ce sera a d'autres de faire vivre nos ancêtres.

La nostalgie me prends. Ce sera un temps que je n'oublierai jamais. Et vous non plus.