mercredi 1 décembre 2010

Sa toile

Ses tiroirs sont remplis de pots de peinture, de crayons et de papier. Les miens sont remplis d’histoires, de contes de fées. J’aimerais que du bout de ses pinceaux il vienne colorer mes joues. Il biffe, il repeint ce qui lui déplait de son conte. J’aimerai tant faire de même. Une histoire à l’eau de rose remplie d’étoiles dans les yeux, de papillons dans l’estomac et de rires. Je suis seulement une princesse qui rêve d’être son tableau. Une toile blanche où il pourra créer ce qu’il voudra de moi, de nous.

jeudi 30 septembre 2010

A vous de vous fouler la langue!

Madame S. est une Suissesse. Au sous-sol de sa maison, elle chausse ses souliers secs, saisit son sac et sort sur le seuil, seule dans le silence du soir. Quand soudain, elle aperçoit une scène sensationelle : "Sapristi!". Sous les cent sapins, six cents six sots sans le sou sucent six cents six sucettes au cassis et six cents six saucisses salées. Surprise, madame S. sursaute, glisse sur le sol moussu, puis s'assied sur ses fesses, stupéfaite. Quel suspense! "Mais c'est... bien sûr! Ce sont six cents six petits Suisses sots, c'est aussi simple que ça! Ce n'est pas sorcier!", soupire madame S. en fronçant les sourcils. Le soleil disparaît bientôt et madame S., soulagée, va s'allonger sur son sommier, sans souci.

mercredi 18 août 2010

Nouvelle théorie!

Je suis comme un beigne avec des bonbons dessus, C'est bon, mais une fois c'est en masse!

Pour la comparaison avec le beigne je dirai que ca tient assez bien la route pour moi. Un beigne, c'est gras, on veut faire attention a sa ligne, donc on évite. Le glaçage c'est sucré, ca fini toujours par tomber sur le coeur. Puis les bonbons, C'est cute, c'est enfantin, pis on fini toujours par regretter quand on en croque un qui manque de nous fendre une dent.

Souvent le commentaire qui me revient c'est que je suis ''trop''. Trop quoi, je ne suis pas certaine. Je suis trop tout, comme le beigne avec les bonbons dessus!

En tant que beigne, J'péfèrerais plutôt être un gâteau au fondant au chocolat, qu'on échange ente amoureux avec une seule cuillière. Ou un lait frappé avec deux pailles dedans, siroté entre deux rires d'adolescentes. Ou un biscuit Oreo méticuleusement divisé en deux par un enfant, qui me plongerai ensuite dans une piscine de lait après, bien sur, avoir tout mangé le crémage. J'ai tout aussi envie d'être une tarte aux pommes maison dévorée par mon'oncle Robert qui est pas capable d'Attendre apres le souper pour pouvoir en prendre une pointe. Ou une petite bouchée de sucre à la crème mangée du bout des doigts par un diabétique qui triche un peu.

Vous voyes, même les beignes ne se sentent pas toujours bien dans leur pâte!

Et vous, qu'elle pâtisseries seriez-vous?

lundi 16 août 2010

C'est le début d'un temps nouveau!


Samedi j'ai manqué les étoiles filantes, le ciel était couvert. Pourtant, elles étaient là, dans nos yeux...

Tous au bord du feu, dans nos costume d'époques, le trac était ressenti de tous et l'échine nous chatouillais. Les gens assis dans leur chaises de fibres synthétiques, aux lanières qui s'enfoncent dans les cuisses, en avaient rien a faire d'être inconfortables. Il attendaient.....pas les guimauves à faire griller pour leur enfants, pas le chasse-moustiques que mémé à oublié à la maison, pas le lolo de Sophie dans son verre Dora qui ne coule pas. Ils nous attendaient, nous. Ils on laissés leur téléromans poches jouer sans eux devant la télé, ils on laissés leur lavage et le chien mordiller son os. Ils on mis leur vie de côté pour venir vivre avec nous pendant 1h00. Une heure de vie commune avec 50 personnes, je ne sais pas si vous le savez, mais c'est électrisant.

Une fois le feu éteint et tout le monde repartie à leur vie de gens qui ne sont pas nous, on vibrait encore sous l'adrénaline. C'est à ce moment d'euphorie totale qu'on la ressentie, la fin de l'été, la fin de notre vie en 1785.

Il nous reste 1 mois et demi pour s'éteindre et ensuite retourner à notre vie pas de Marie-Louise, de meunier, de crapaudine, sans enfants et parents émerveillés de faire un retour en arrière. En octobre nous ne seont plus maîtres de l'histoire, du temps. Ce sera a d'autres de faire vivre nos ancêtres.

La nostalgie me prends. Ce sera un temps que je n'oublierai jamais. Et vous non plus.

mercredi 3 février 2010

L'amour 101

Conserver en soi l'enfant que l'on à été ne vaut pas dire rester un enfant. Je suis comme ces gens qui regardent la télévision en changeant sans arret de chaines pour n'assister qu'aux sequences les plus intenses. C'est du niaisage. La passion chronique est un trompe l'oeil, séduisant, mais futile. Quand on sale trop un plat on tue tout les gouts les plus subtils. Les grands amants sont des mélomanes de l'amour, des gourmets du sentiment, pas des consommateur de piments forts...

Retournons au Petit Prince, Antoine avait la solution depuis le début: on est responsable de ce que l'on aime. Il faut être digne de chaque personne qui nous aime en retour!Rien ne se tien sans cela.

Mon mépris du couple était une attitude de gamine. Je me protegeais du mal. Mais le mal fait partie de la vie et on mène une existence d'invertébré si on ne l'affronte pas!
L'amour exige le risque de l'echec. C'est le prix a payer. Et la vie de couple est la seule véritable aventure de notre temps.

J'ai été trop longtemps celle qui ne vivait que de passion. Cette chose éphémère qui s'éffrite vite. Je ne me gaspillais qu'en initiatives tordues.
Il faut vivre pleinenent avec son coeur, tout le reste n'est que vanités.

Pardonnez ma véhémence, mais vous voir faire les imbéciles me rapelle mes erreurs d'antan...

Still alive!

J'suis tellement dû pour acheter une nouvelle pince a cils mais surtout d'écrire quelque chose. J'ai beaucoup négligé mes devoirs depuis l'été dernier je m'en suis bien rendue compte....

Je remédie donc a la situation, vous serez bien heureux d'apprendre que j'ai placé ceci dans mes resolution 2010...oui daccord on est rendu en février...mais bon vaut mieux tard que jamais!

Donc voici et bonne année!