dimanche 29 juin 2008

Couvercle recherché

‘’C’est pas que je suis terriblement malchanceux. C’est pas que je suis particulièrement méchant. C’est pas que je suis atrocement laid, non plus. Je suis juste niaiseux.’’

Matthieu, avec deux t, a écrit ça sur la quatrième de couverture d’un livre que j’aime profondément. Mettez le tout au féminin et vous aurez une bonne description de moi aussi. J’ai pas de bol c’est tout. Je suis meilleure à accoupler les autres qui s’emboîte bien. Ma propre personne est un plat Tupperware très utile, mais sans couvercle. Que voulez-vous! Refilez-moi du ça-rend-rap : ça colle. Seulement, ce genre de moyen ne s’utilise qu’une fois et n’adhère jamais vraiment la première fois qu’on le pose….

Vous voyez ou je veux en venir?

Il n’y a pas de remède miracle pour ça. Aucun shaman vaudou ne peut conjurer ce ‘’sort’’. Pas de formules magiques ni de marraine la bonne fée.
Dans ce monde, il n’y a plus de place pour les amours à la Grace Kelly et Fred Astaire. Pas de pas de danse improvisés dans la rue où, par le plus grand des hasard, tout le monde connais les pas. Pas de sérénades sous les balcons, parce que votre chambre est au sous-sol. J’aurai tant aimé que me vie soit une comédie musicale. Je suis une quétaine doublé d’une romantique finie! Je devrai m’armer de patience. Où j’ai mis ça déjà?

Un simple couvercle en plastique...ça dois pas être si difficile a trouver? Hum?

Matthieu?!?!

vendredi 20 juin 2008

Satané Monsieur Pelchat

Mario Pelchat avait raison : pleurer dans un torrent de neige fondue passe inaperçu aux yeux de tous. Enfin presque tous…

J’étais assise sur un banc, trempée jusqu’aux os. Je ne grelottais pas, j’avais simplement ce stupide refrain dans la tête et la brève idée que oui, j’étais en train de donner raison à ce chanteur de pomme bien connu des matantes de la Terre. Tu es arrivé les bords de pantalons trempés jusqu’aux genoux. Je crois que tu m’as cherché longtemps, mais ça, tu ne me l’avoueras jamais.

En tailleur sur ta sécheuse avec ton pull sur les épaules, le mascara qui se prends pour une glissade sur mes joues et toi qui assèche mes cheveux avec une délicatesse telle, que je ne sens rien. La pluie n’est plus là comme abris et ça me désole un peu. Tu veux me faire plaisir? Crée une averse isolée dans ta cave pour que je puisse pleurer tranquille bien emmitouflée dans tes bras.

Je remarque alors que tu es aussi tu es trempé que moi. Pourquoi me cherchais-tu? Humm? Et comment m’as-tu retrouvée?

Ne pars pas, reste près de moi. Je ne te poserai plus de questions, promis.
Nous nous mouillerons à y répondre un autre jour…quand l’orage sera passé!

jeudi 19 juin 2008

Le dill

Une crème glacée par ici, un chocolat chaud par là. À tâtons on essaie de retrouver ce que l’on a perdu….ce que je nous ai enlevé en fait. Le pied dans la bouche avec le plat ou j’ mettais mise l’autre pied : j’ te jure ça m’a donné une gueule d’enfer!

Presque qu’un an a mijoter dans mon jus de cerveau. Que je ferais une bon gros dill pickel mariné. Je me compare tu a un dill pickle présentement? Bien oui
j’ me relis, pis c’est bien ça que je suis en train de faire!
J’suis un gros cornichon a l’aneth qui demande juste d’être aimé à nouveau, et ce, très maladroitement! Je l'ai appris à mes dépends malheureusement...

J’ suis tombée en bas d’ la tablette, la plus haute de surcroît. J’ramasse tant bien que mal les morceaux de pots cassés. Je sais que je peux le faire toute seule, mais les moutons de poussières m’effraient sans bon sens. Puis pas de bras (parce qu’un cornichons ça pas de bras on s’entends tu?) c’est d’autant plus difficile. J’me demande même si j’ me suis pas moi-même lancé en bas de l’étalage. Un saut périlleux qui m’aura coûté cher : un an de ta vie. Une chance que c’est pas fait fort de l’orgueil de pickel!

J’te demande pas de passer l’éponge, juste de passer le balai avec moi…
On le passera jusqu'à ce que t’ai envie de cirer le parquet. Seulement au moment que tu jugera le tout bien propre et présentable. Un plancher digne de confiance quoi! Shiné comme un sou neuf, mais que tu puisse le truster assez pour t’essayer à marcher dessus avec tes nouveaux talons haut dégarnis d’anti-dérapant!
Ensuite on pourra se rouler dessus en riant à s’en décoller la rate, la bouche remplie de Joly Ranchers.

Qu’est-ce que t’en dis?

lundi 9 juin 2008

La vie n'est pas qu'une salope.....(pas supposé, non)

Ça fait longtemps que j’avais pas dit que la vie est une pute, hein? Ben la vie est une pute. Tellement que j’y mettrais plusieurs ''t'' et un ''p'' majuscule.
PUTTTTTE!!! Sale Puttttttttttte!!!!!!

J’ai vomi tantôt, en sortant du métro, alors que ''Dust in the wind'' jouait dans mes oreilles. J’ai vomi, parce que la compréhension me joue sur le système digestif. Les chansons qui te défugurent le moral aussi. Le mal à l’âme me donne mal au coeur. C’est comme ça. C'est mon cerveau. Crisse de cerveau! Il est où le bouton «reset» sur cette affaire-là?.....
Sur ce, bonne semaine et restez heureux d'être content!

Wàlà

Il y a des pragmatiques qui acceptent les choses comme elles viennent et font le meilleur des choix possibles.
Il y a des idéalistes qui tiennent a leurs principes et refusent les compromis. Et il y en a qui font ce qui leur passe par la tête.
Moi, je transforme pragmatiquement mes lubies en principes. (Calvin)

dimanche 1 juin 2008

Impératrice

I tell you: if you hang up on me, you'll break my heart!

.........click!

Please hang up immediatly and try to call again, this is a recording